Oser dire non et poser ses limites
Cette semaine nous abordons un sujet difficile et important car souvent l’un des motifs de l’épuisement professionnel et de la souffrance émotionnelle et morale.
C’est un sujet controversé également car dans l’inconscient collectif il est associé au fait d’être égoïste, de se faire passer soi avant l’autre, et donc de risquer de décevoir, d’être moins apprécié.e, d’être moins sollicité.e.
Ces peurs de décevoir, d’être moins apprécié.e, d’être moins sollicité.e sont associées au fait d’oser dire non, oser s’affirmer, oser affirmer ses besoins et donc revendiquer ses limites.
Je vous parle donc aujourd’hui d’oser dire NON et poser ses limites, avec tact, diplomatie et bienveillance.
Dans cet épisode 39, nous allons aborder la question de l’affirmation de soi en prenant une voie détournée : le NON et les limites !
Pourquoi oser dire non et fixer ses limites est difficile et est un sujet controversé ?
Que tu sois juriste junior, juriste expérimenté.e ou senior, juriste généraliste, juriste expert, manager, parent ou non, en couple ou non.
I : Mon partage d’expériences
C’est un sujet qui me passionne encore. J’ai été confrontée au fait de ne pas oser dire non, ni poser mes limites (encore faut-il bien les connaître et se connaître pour les poser …)
à plusieurs étapes de ma carrière et de ma vie de femme et de maman, donc au bureau et à la maison, peut-être comme toi !
- J’ai été challengée de nombreuses fois sur ce sujet et confrontée à la peur du regard de l’autre et son jugement sur mon affirmation de mes limites.
- Et je le suis encore de temps en temps.
Les 2 derniers exemples récents concernent mon entreprise et ma famille.
1. Au sein du cabinet Jurinova :
Je délègue la partie « communication sur les réseaux sociaux », et j’ai dû l’année dernière poser mes limites et dire non au fait de trop m’impliquer sur la création des visuels, la relecture des textes, la programmation …
- Tout simplement, j’ai revu le périmètre de la délégation, des missions déléguées, et j’ai dit non à certains nombres de tâches qui étaient déléguées. J’ai posé mes propres limites et je suis revenue au pourquoi j’avais délégué : car je voulais consacrer plus de temps à mes clients, donc déléguer les tâches de création graphique et la rédaction des textes.
- Je ne participe qu’à la définition de la stratégie éditoriale chaque mois et chaque trimestre.
Cela m’a rappelé la gestion de mon équipe et de mes dossiers de fusion-acquisition et LBO.
- J’adorais analyser les dossiers, comprendre les enjeux, échanger avec les juristes de l’équipe sur les suretés, les montages, les flux à prévoir, les rétroplannings, les échanges avec les avocats et les fiscalistes … J’étais passionnée.
- Et pourtant, je devais me concentrer sur la structuration du service, le management des projets et des juristes, les recrutements, l’organisation efficiente. C’était la priorité.
Encore une fois, je suis revenue au pourquoi j’avais accepté ce poste : car je voulais quitter l’expertise pour le management. Donc ma priorité c’était le management, la structuration, et l’organisation pérenne du service afin de gagner en efficience et pouvoir recruter les profils adéquats qui étaient nécessaires au développement de l’activité LBO et fusion-acquisition.
- Et pourtant, je revenais régulièrement à ma zone de confort, avec les juristes, tu sais la zone que tu connais, dans laquelle tu n’es plus très épanoui.e mais elle fait moins peur car tu sais à quoi t’attendre, tu sais ce que tu vas vivre. Pour moi, c’était l’analyse, la construction et le closing du dossier.
J’ai donc dû fixer des points hebdomadaires sur les dossiers et l’avancée, avec un ordre du jour précis et une durée de 45 minutes. Je protégeais mon agenda et mon organisation pour consacrer un maximum de temps aux autres sujets.
2. Dans ma vie privée :
Et à la maison, cette année, nous avons fait le choix de scolariser notre fils aîné au CNED, à la maison, pour son année de 4ème.
- Donc chamboulement dans l’organisation, cela veut dire repas tous les midis, là où je déjeunais seule ou avec des amis à l’extérieur, je dois préparer un repas pour 2 tous les jours !
Et surtout notre deuxième fils, en CM2, avait envie de rentrer aussi le midi.
A cela s’ajoute le suivi scolaire de mon fils au collège, avec un agenda précis, des temps de connexion au CNED précis, avec des calendriers de contrôles et rendu de devoirs très stricts.
Et tout ceci en continuant de diriger mon entreprise.
- Donc première décision, refuser à mon second fils le fait de rentrer le midi pour déjeuner. Cela peut sembler dur et injuste pour un regard extérieur.
- Pour moi, j’ai fixé mes limites.
J’ai besoin de cette pause déjeuner avec mon aîné pour vérifier l’avancée de la matinée sur les matières qu’il a travaillées.
J’ai besoin de lui consacrer du temps en one to one pour soit l’écouter tout simplement et m’assurer que son moral est bon, soit prendre le temps de revoir des notions si on a le temps ou de programmer un temps dans les 48h pour approfondir cette notion, voir si mon mari est plus à l’aise avec l’une des notions, l’en informer pour que lui prévoit 45 min ou 1h00 avec notre fils sur cette notion dans les 48h.
En période de contrôle, nous avons besoin de ce temps pour réajuster l’agenda car certains sont plus longs que d’autres, ou s’il est malade.
- Et j’ai aussi mis en place un agenda strict, au cours duquel il travaille en toute autonomie et de mon côté, je me consacre à mon entreprise.
Il a un agenda et j’ai le mien. On peut les consulter l’un et l’autre.
- Et oui j’ai dû dire non à plusieurs reprises, s’il souhaite discuter à un moment ou je suis en pleine concentration pour répondre à un client ou enregistrer un podcast.
Ou s’il souhaite se lever plus tard.
Non, tous les matins à 8h il doit être au bureau, donc lever à 7h max, comme pour son frère.
Je protège mon temps pour pouvoir dédier mon attention à mon entreprise pendant les heures prévues pour cela et à mon fils aux moments consacrés à lui.
- Et encore une fois, j’en suis revenue au pourquoi : pourquoi avoir accepté cette scolarisation au CNED à domicile.
Pour répondre à ses besoins de scolarisation et donc remplir mon rôle de maman bien entendu, tout en continuant à diriger le cabinet Jurinova et à le développer.
- Et j’étais convaincue que cela était possible avec une organisation précise, donc des limites claires, expliquées, concrêtes.
Et pour lui montrer que tout est conciliable et possible.
Le point positif de tout cela c’est que nous mangeons bien plus équilibré depuis septembre, et que j’ai renoué avec de vraies pauses déjeuner tous les jours !
- Et je me réserve un déjeuner une fois par semaine pour sortir en extérieur, avec mes amis. Mon mari prend le temps une fois par semaine de déjeuner avec lui. C’est leur moment à eux également.
Voilà pour mon partage d’expériences.
Tu te demandes peut-être comment j’ai avancé sur le fait d’oser dire « non » et oser poser mes limites.
II . Comment j’ai avancé sur ce sujet ?
- Premièrement en apprenant à mieux me connaître et à connaître mes besoins. Cela semble très simple et quelques peu utopiste parfois.
En vérité, ce n’est pas évident de connaître véritablement ses propres besoins lorsque l’on est absorbé par les besoins de l’autre et l’envie de plaire, et d’être valorisé.e et reconnu.e par l’autre.
- Par différentes techniques dont la principale est le coaching, sans surprise me diras-tu !
Le coaching m’a permis par l’introspection de mieux comprendre de quoi j’avais besoin, et d’identifier ce qui me décevait, ce qui m’agaçait, ce qui ne me correspondait pas, et pourquoi j’étais frustré.e parfois.
J’ai identifié ce qui me manquait, à quoi je renonçais quand je disais un « oui » qui correspondait à un « non déguisé ».
1. Jacques Salomé
Connais-tu Jacques SALOME ? C’est un psychiatre formateur à la relation d’aide, qui a créé plusieurs écoles pour former les thérapeutes et les médecins à la relation d’aide.
Il a également écrit plusieurs ouvrages que je te recommande.
Je les relis régulièrement. Ils sont enrichissants tant d’un point de vue professionnel que personnel.
Lui nous dit 2 choses qui vont t’éclairer.
Voici 2 citations pour t’aider à comprendre ce qui se cache derrière le fait de ne pas oser dire non.
- « Oser dire non à l’autre, c’est oser se dire oui à soi-même. »
On fixe ses limites à l’autre donc on se dit oui à soi.
On respecte ses propres limites.
C’est aussi en lien avec tes valeurs profondes que l’on identifie pendant les accompagnements « bilan de compétences -orientation », « Mobilité » et « Développement professionnel ».
Deuxième citation aussi très forte :
- « Le oui que nous donnons, quand nous n’osons pas dire non, n’est pas un vrai oui. »
C’est un « non déguisé ».
Or, avec votre interlocuteur, cela va engendrer de la frustration, il va entendre le « oui ».
- Il ne va pas forcément entendre ce non déguisé.
- Il ne va pas le comprendre car il va entendre ce oui, puisqu’il répond à son propre besoin et il est centré sur son propre besoin dans le cas de la communication.
- Il ne va pas pouvoir comprendre quand vous allez commencer à lui dire non ou quand vous allez commencer à mettre de la mauvaise volonté, quand vous serez frustré.e, énervé.e, surméné.e, épuisé.e …
Il ne va pas comprendre car il a entendu un « oui ».
2. Pourquoi apprendre à dire NON ?
Donc le fait de savoir dire NON permet de maintenir des relations saines, que ce soit dans la vie professionnelle ou personnelle.
- Une fois que tu maîtrises le « savoir-faire » du NON, lorsque tu sais dire non avec tact et fermeté́, tu es davantage respecté.e que la personne qui acquiesce toujours aux propos des autres. Et tu ne diras plus « oui » au détriment de toi-même.
- Cela engendre le respect, à partir du moment où tu sais mettre tes limites, parce que par la suite les personnes ne viendront pas te solliciter pour tout et n’importe quoi.
- Ils vont vraiment faire attention à te solliciter pour ce sur quoi tu as une expertise, et ce sur quoi ils ont un réel besoin. Ils ne te dérangeront pas pour rien. Ils vont peser le pour et contre avant de te déranger. Cela permet d’être respecté.e.
- Et cela devient une force lorsque « dire non » est fait d’une façon affirmative et assertive, en adoptant une position personnalisée positive, plutôt que de façon négative en rejetant ou en nous imposant. Tu restes dans ta posture de manager, de juriste, de conseil, qui permet de dire non de manière assertive, de manière calme, posée et concrète.
- Dans ce cas, tu sais refuser les requêtes déraisonnables d’autrui, tu prends en considération tes propres besoins, et tu restes en contact avec tes propres priorités.
3. Quelques subtilités pour les femmes
Dans le cas des femmes, il y a quelques subtilités.
En effet, beaucoup d’entre nous n’osent pas refuser ou n’ont pas appris à le faire.
- Dans le cadre de l’éducation reçue, tu as peut-être reçu une éducation dans laquelle il fallait toujours dire « oui ».
- Cela fait partie de l’éducation de la bonne petite fille, de la petite fille modèle, de la bonne élève, de la première de classe.
- Or le monde du travail ce n’est plus une salle de classe, tu n’es plus à l’école, avec un ou une instit qui donne des bonnes notes.
Nous avons peur de décevoir, peur de perdre notre job ou notre mission, les missions les plus intéressantes si nous osons poser des limites, que ce soit en termes de volumétrie de dossiers ou d’horaires de demandes par exemple.
- Je te propose de prendre un exemple extrêmement courant dans l’accompagnement « Développement Professionnel ». Le dossier déposé un vendredi à 18heures et à rendre pour le lundi à 8h. Cela sous-entend un weekend à travailler, donc renoncer à sa vie privée, sa vie de famille, son temps de repos, les activités prévues ou autre.
- Ou tu as le choix de dire « non », et indiquer que le dossier sera traité lundi donc un retour pour mercredi. Il s’agit donc de fixer ses limites en précisant les modalités de prises en charges et en disant « non » au travail tout le weekend mais « oui » à la prise en charge du dossier pendant les horaires de bureau et oui au temps de déconnexion du weekend.
- Dans ce cas, tu fixes tes limites.
Nous avons également peur de passer pour dures, méchantes, caractérielles avec des humeurs, jouer solo et non collectif, de s’entendre dire qu’il faut choisir entre sa vie professionnelle ou sa vie de famille, et j’en passe et des meilleurs car il y aurait beaucoup à dire sur ce sujet au vu de ce que j’entends en séance.
- Cela devient donc un challenge de s’opposer aux autres et de s’affirmer de manière assertive, de manière calme, posée et ferme.
- Dans ce cas-là, nous ne ferons plus « plaisir », et nous sortirons de la représentation inconsciente de la femme douce, dévouée, généreuse…
Il s’agit du biais cognitif que la plupart d’entre nous portons. Ce biais cognitif est inconscient. La femme doit être douce, généreuse et dévouée.
- Or, en disant oui à tout, que va-t-il se passer ?
Ton interlocuteur retient ton « oui ». Il ne s’est pas rendu compte de ton hésitation et de ton envie de dire « non ». Ensuite, il aura du mal à comprendre ta frustration. La relation pourrait se dégrader. Dire « non » permet d’avoir des relations saines, pour s’affirmer avec authenticité. Tu ne fais pas semblant de dire « oui » car tu n’oses pas dire non.
- De plus, dire toujours oui pour faire plaisir, dépanner, la jouer collectif et ne pas décevoir les autres, qui est une grande peur qui anime les femmes, peut avoir plusieurs conséquences.
- Cela peut te conduire à te surmener, t’épuiser, te démotiver, t’ennuyer car tu as trop de choses à faire ou des taches trop fastidieuses. Tu peux commettre des erreurs à force d’être surchargée ou surmenée et risquer de perdre ta mission ou ton job.
C’est important également dans le cadre de la délégation pour les managers juridiques de savoir dire non à ses équipes, ses collaborateurs, ses propres managers, ses clients, ses fournisseurs, avec tact et diplomatie bien entendu.
Cela fera l’objet d’un autre podcast.
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Nous nous sommes interressé.e.s à une question fréquente :
Pourquoi oser dire non et fixer ses limites est difficile et est un sujet controversé ?
Que tu sois juriste junior, juriste expérimentée ou senior, juriste généraliste, juriste expert, manager, parent ou non, en couple ou non.
Cela te permet de développer ton assertivité et ton leadership.
- Mon partage d’expériences
- La délégation au sein de mon entreprise
- La délégation au sein de mon équipe
- Le temps alloué à mon rôle de maman
- Le temps alloué à la direction du cabinet Jurinova
- Comment faire pour oser dire non et poser ses limites ?
- Apprendre à mieux se connaitre et identifier ses besoins
- Le coaching et l’introspection
- Jacques Salomé et ses 2 citations
- Revenir au « pourquoi » dire non et poser ses limites ?
- Quels bénéfices j’en retire ?
- Les subtilités liées à l’éducation des femmes
En conclusion, par quoi vas-tu commencer ?
- Réfléchir à la citation :« Oser dire non à l’autre, c’est oser se dire oui à soi-même. »
- Identifier tous les « non déguisés » ?
- Etre honnête avec toi-même : quels besoins ne sont pas comblés dans ces « non déguisés » ?
- De quoi as-tu peur quand tu réponds « oui » qui est un « non déguisé » ?
- Replonger dans ton éducation : qui avait le droit de dire non à la maison ? à l’école ?
- Quand as-tu dit « non » pour la dernière fois à la maison ? à l’école ?
- Quand as-tu dit « non » pour la dernière fois au bureau ?
- Peux-tu te remémorer ton premier « non » à la maison ? à l’école ? Quel âge avais-tu ? Quelles ont été les conséquences ?
- Peux-tu te remémorer ton premier « non » au bureau ? Quel âge avais-tu ? Quelles ont été les conséquences ?
Voilà, tu sais tout sur pourquoi dire non n’est pas naturel dans notre société, et pourquoi c’est difficile et mal perçu.
Tu sais également quels bénéfices tu retireras d’apprendre à dire non en te donnant l’autorisation, malgré les peurs qui sont bien présentes.
A la clé : équilibre de vie, épanouissement, respect, bienveillance, valorisation, reconnaissance, confiance et fierté !
C’est à toi de jouer en 2023 !
Je t’invite à compléter l’écoute de cet épisode par les épisodes suivants du podcast JURINOVA :
- 8 : A quoi sert le coaching professionnel pour les juristes ?
- 16 : Votre loyauté : un frein à votre évolution ?
- 17 : Comment développer votre intelligence émotionnelle ?
- 20 : Comment gérer le syndrome de l’imposteur ?
- 22 : Les 5 freins qui sabotent la carrière des femmes !
- 29 : Leadership et assertivité
Et si tu veux être accompagné.e pour ton développement professionnel, c’est ce que nous faisons ensemble dans l’accompagnement « Développement professionnel » – pendant 4 mois.
Nous consacrons 1 mois à l’affirmation de soi et ton assertivité, les modules 5 et 6.
Nous nous intéressons bien évidement au fait d’oser dire non, oser poser ses limites, oser demander, déléguer, décider, exprimer sa reconnaissance et célébrer un succès.
Et nous allons plus loin à travers ton leadership pour s’attarder sur les 8 caractéristiques du leader.
Nous découvrons également ensemble les 6 modes relationnels et la méthode en 4 étapes pour obtenir de la reconnaissance.
Nous finalisons ce mois consacré à ton affirmation de toi et ton assertivité par les 3 stratégies pour entretenir ton estime de soi qui est l’un des fondamentaux.
L’objectif est double :
- Il est de te permettre de t’autoriser à oser, donc que tu t’octroies à toi-même les autorisations d’oser : dire non, demander, poser tes limites, déléguer, décider, exprimer ta reconnaissance, partager et célébrer un succès ;
- Il est de te faire prendre conscience de toutes les possibilités qui s’offrent à toi pour équilibrer ta vie, en toute responsabilité. Et de prendre conscience de ce qui fait partir de ta zone d’influence et ce qui n’en fait pas partie. Tes peurs en font partie et elles sont là pour te guider et t’aider à avancer … ce que nous voyons également dans l’accompagnement dans les modules 3 et 4 : la gestion des émotions.
Voilà ce que nous pouvons aborder ensemble, en toute confidentialité, et dans le cadre d’une bulle de bienveillance, pendant l’accompagnement « Développement professionnel ».
Si tu es intéressé.e, il reste 1 place en février et 2 sont ouvertes pour mars. Tu peux prendre RDV sur mon site, directement dans mon agenda, pour l’entretien exploratoire qui est gratuit et confidentiel.
A bientôt et profite-bien des vœux du mois de janvier pour réactiver ton réseau professionnel !
Nous nous retrouvons la semaine prochaine pour le podcast 40, qui apportera quelques tips au Responsable Juridique pour optimiser leur profil Linkedin !
Belle journée à toi, chèr.e juriste talentueuse ou talentueux, prend soin de toi !
Bye Bye !
Cynthia
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